Guerre en Ukraine, en direct : Emmanuel Macron veut dissuader Pékin de prendre la « décision funeste » de soutenir militairement la Russie

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Armes nucléaires russes en Biélorussie : préoccupations au Conseil de sécurité de l’ONU

 <div class="post__live-container--answer">  <p class="post__live-container--answer-text post__space-node">La majorité des membres du Conseil de sécurité de l’ONU ont exprimé leur préoccupation vendredi quant à un risque de prolifération nucléaire, lors d’une réunion sur le déploiement annoncé par Moscou d’armes nucléaires <em>« tactiques »</em> en Biélorussie.</p>  </div>      <div class="post__live-container--answer">  <p class="post__live-container--answer-text post__space-node"><em>« Il s’agit là d’un coup supplémentaire porté à l’architecture de maîtrise des armements </em>(...) <em>et à la sécurité internationales »</em>, a dénoncé l’ambassadeur français, Nicolas de Rivière, lors de cette réunion.</p>  </div>      <div class="post__live-container--answer">  <p class="post__live-container--answer-text post__space-node"><em>« Soyons clairs, </em>(...)<em> aucun pays ne menace la souveraineté russe »</em>, a dit l’ambassadeur britannique adjoint, James Kariuki. L’annonce russe <em>« est une nouvelle tentative d’intimider </em>(...)<em>. Ça n’a pas marché jusqu’ici et ça ne marchera pas. Nous continuerons à soutenir les efforts de l’Ukraine pour se défendre »</em>, a-t-il ajouté.</p>  </div>      <div class="post__live-container--answer">  <p class="post__live-container--answer-text post__space-node">Si la France, le Royaume-Uni, les Etats-Unis et d’autres membres du Conseil ont clairement condamné l’annonce de Moscou, certains ont renvoyé Russes et Occidentaux dos à dos. <em>« On ne guérit pas le mal par le mal »</em>, a ainsi lancé l’ambassadeur brésilien, Ronaldo Costa Filho.</p>  </div>      <div class="post__live-container--answer">  <p class="post__live-container--answer-text post__space-node">La Russie a fait référence à la politique de <em>« partage nucléaire »</em> de l’OTAN et en particulier au positionnement d’armes nucléaires américaines en Europe, pour justifier son accord avec la Biélorussie. Moscou a répété cette argumentation vendredi devant le Conseil de sécurité.</p>  </div>      <span class="post__live-container--answer-author post__space-node"></span> 

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Lot atik