Guerre en Ukraine, en direct : Volodymyr Zelensky invité à un sommet de l’OTAN en juillet

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Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU dénonce les déportations d’enfants ukrainiens par Moscou

 <div class="post__live-container--answer">  <p class="post__live-container--answer-text post__space-node">Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a exigé mardi de la Russie qu’elle permette aux organisations internationales de rendre visite aux enfants et autres civils <em>« qui ont été déportés de force »</em> en Ukraine vers des territoires contrôlés par Moscou.</p>  </div>      <div class="post__live-container--answer">  <p class="post__live-container--answer-text post__space-node">La résolution adoptée mardi demande à Moscou de <em>« cesser le transfert forcé illégal et la déportation de civils et d’autres personnes protégées à l’intérieur de l’Ukraine ou vers la Fédération de Russie </em>(…)<em>, en particulier d’enfants, y compris ceux qui sont placés en institution, ceux qui ne sont pas accompagnés et ceux qui sont séparés »</em>. Le texte a été adopté par 28 voix pour, 17 abstentions et deux contre (Chine et Erythrée).</p>  </div>      <div class="post__live-container--answer">  <p class="post__live-container--answer-text post__space-node">Selon le journaliste Alec Luhn, correspondant en Russie pour <em>The Telegraph</em>, la commissaire aux droits des enfants russe, Maria Lvova-Belova, a déclaré que <em>« 380 enfants ukrainiens ont été placés sous la “tutelle” de familles russes »</em>.</p>  </div>              <div class="post__live-container--answer">  <p class="post__live-container--answer-text post__space-node">Selon Kiev, ce sont 16 221 enfants qui ont été déportés en Russie jusqu’à fin février, des chiffres que la Commission de l’ONU n’a pas pu vérifier. M<sup>me</sup> Lvova-Belova a assuré n’avoir été contactée par <em>« aucun représentant du pouvoir ukrainien »</em> au sujet des enfants déportés depuis le début du conflit et invité les parents à lui écrire un courriel. <em>« Ecrivez-moi </em>(…)<em> pour retrouver votre enfant »</em>, a-t-elle lancé.</p>  </div>      <div class="post__live-container--answer">  <p class="post__live-container--answer-text post__space-node">En février, un groupe de chercheurs de l’université Yale, aux Etats-Unis, a publié une enquête faisant état d’un réseau d’au moins 40 camps à travers la Russie, utilisés pour la <em>« rééducation patriotique » </em>des jeunes victimes, où doivent leur être inculqués l’amour de la Russie et la détestation du monde occidental. Cette étude a établi qu’au moins 6 000 mineurs ukrainiens vivaient depuis des semaines, voire des mois, dans ces camps, coupés de leurs parents.</p>  </div>      <div class="post__live-container--answer">  <p class="post__live-container--answer-text post__space-node">Une commission de l’ONU, organisée le 16 mars, a constaté que la déportation en Russie concerne des enfants qui ont perdu leurs parents ou qui ont temporairement perdu le contact avec eux pendant les hostilités, parfois en raison de leur placement en détention.</p>  </div>      <div class="post__live-container--answer">  <p class="post__live-container--answer-text post__space-node">Les autorités ukrainiennes affirment fréquemment que les actions menées par la Russie constituent un génocide, mais la commission d’enquête des Nations unies, présidée par le juge norvégien Erik Mose, n’est pas arrivée à la conclusion que la Russie mène en Ukraine une politique spécifiquement génocidaire au sens juridique du terme. Elle a cependant affirmé que ces actes, considérés dans leur ensemble, constituent un <em>« crime de guerre »</em>.</p>  </div>              <span class="post__live-container--answer-author post__space-node"></span> 

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Lot atik